mardi 29 décembre 2015

Aimons toujours ! Aimons encore !...

Aimons toujours ! Aimons encore
Dessin de Victor Hugo
Quand l'amour s'en va, l'espoir fuit.
L'amour, c'est le cri de l'aurore,
L'amour c'est l'hymne de la nuit.

Ce que le flot dit aux rivages,
Ce que le vent dit aux vieux monts,
Ce que l'astre dit aux nuages,
C'est le mot ineffable : Aimons !

L'amour fait songer, vivre et croire.
Il a pour réchauffer le coeur,
Un rayon de plus que la gloire,
Et ce rayon c'est le bonheur !

Dernier mot manuscrit de Victor Hugo
Aime ! qu'on les loue ou les blâme,
Toujours les grands coeurs aimeront
Joins cette jeunesse de l'âme
A la jeunesse de ton front !


Aime, afin de charmer tes heures !
Afin qu'on voie en tes beaux yeux
Des voluptés intérieures
Le sourire mystérieux !


Aimons-nous toujours davantage !
Unissons-nous mieux chaque jour.
Les arbres croissent en feuillage ;
Que notre âme croisse en amour !
(...)

L'âme en fleur, les contemplations, Victor Hugo, XXII, 1843.

Dessin de V. Hugo

mardi 15 décembre 2015

La magie de l'avent : l'ange Blanc



Le troisième dimanche un ange tout blanc et lumineux descend vers la terre. Il tient dans sa main droite un rayon de soleil qui possède un pouvoir merveilleux. Il va vers tous les humains dans le cœur desquels l'ange rouge avait trouvé de l'amour véritable, et il les touche de son rayon de lumière. Alors cette lumière pénètre dans les cœurs de ces humains et se met à les éclairer et à les réchauffer de l'intérieur.
Et c'est comme si le soleil s'allumait dans leurs yeux et descendait dans leurs mains, dans leurs pieds et dans tout leur corps. Même les plus pauvres, les plus humbles parmi les hommes sont ainsi transformés et commencent à ressembler aux anges, s'ils ont un peu amour pur dans leur cœur.
Mais tout le monde ne voit pas cet ange blanc. Seuls les anges le voient et ceux dont les yeux ont été illuminés par sa lumière. C'est avec cette lumière dans les yeux qu'on peut voir aussi l'amour divin qui entoure la magie du soir de Noël et le petit enfant qui naît dans la crèche.

L'île de Jersey...un lieu mystique



Victor Hugo en Exil à Jersey
Apparition...
poème de Victor Hugo (1802-1885) en exil à Jersey.

Je vis un ange blanc qui passait sur ma tête ;
Son vol éblouissant apaisait la tempête,
Et faisait taire au loin la mer pleine de bruit.
- Qu'est-ce que tu viens faire, ange, dans cette nuit ?
Lui dis-je. - Il répondit : - je viens prendre ton âme. -
Et j'eus peur, car je vis que c'était une femme ;
Et je lui dis, tremblant et lui tendant les bras :
- Que me restera-t-il ? car tu t'envoleras. -
Il ne répondit pas ; le ciel que l'ombre assiège
S'éteignait... - Si tu prends mon âme, m'écriai-je,
Où l'emporteras-tu ? montre-moi dans quel lieu.
Il se taisait toujours. - Ô passant du ciel bleu,
Es-tu la mort ? lui dis-je, ou bien es-tu la vie ? -
Et la nuit augmentait sur mon âme ravie,
Et l'ange devint noir, et dit : - Je suis l'amour.
Mais son front sombre était plus charmant que le jour,
Et je voyais, dans l'ombre où brillaient ses prunelles,
Les astres à travers les plumes de ses ailes.

L'île de jersey


À la suite du coup d'état de Louis Napoléon Bonaparte, futur Napoléon III, en décembre 1851, Victor Hugo passe à l'opposition et quitte la France. Il séjournera près de 19 ans en exil dans les îles anglo-normandes, dont trois à Jersey. Après un court passage à Bruxelles où le pamphlet "Napoléon le petit " l'oblige à quitter la Belgique, Victor Hugo débarque à Jersey le 5 août 1852. Une particularité propre à Jersey est le grand nombre de lieux mystiques (dolmens, pierres philosophales, cimetières). Victor Hugo les fréquenta assidûment pour méditer. En précurseur qu'il était, il tomba lui aussi amoureux de cette île résolument attirante.

mercredi 9 décembre 2015

"Jouer petit ne sert pas le monde".

"Notre plus grande peur n'est pas que nous soyons inadéquats. Notre peur la plus profonde est que nous soyons puissants au-delà de ce qui est mesurable. C'est notre lumière, pas notre obscurité, qui nous effraie le plus.
Nous nous demandons : qui suis-je pour être brillant, merveilleux, talentueux, fabuleux ?
En fait, qui êtes vous pour ne pas l'être ?
Jouer petit ne sert pas le monde.
Se rétrécir devant les autres pour qu'ils ne se sentent pas en insécurité ne fait pas preuve d'une attitude éclairée.
Nous sommes tous voués à briller, comme le sont les enfants.
Nous sommes nés pour manifester la gloire qui est en nous.
Ce n'est pas le sort de quelques-uns d'entre nous, c'est le sort de tout un chacun.
Et quand nous laissons notre propre lumière briller, nous donnons sans en être conscient la possibilité aux autres de faire la même chose.
Quand nous sommes libérés de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres.

Nelson Mandela ( extrait de son discours d'investiture).
Ecrit par Marianne Williamson, extrait de son livre "un retour à l'amour".

mercredi 25 novembre 2015

Symbolisme du nombre 16

Dans le Tao-Tô-King, Lao-Tseu nous résume la vertu du nombre 16 avec toujours la simplicité et l’élégance d’une vision intemporellement juste :
Tout le monde dit que la voie est immense.
Et qu’elle ne peut être comparée à rien d’autre.
C’est précisément par son immensité qu’elle est différente de tout ce que l’on connaît.
Si elle ne l’était pas, depuis longtemps, elle se serait dissipée.
Il y a trois trésors que je garde en moi : Le premier est l’amour.
Le second est la frugalité.
Le troisième l’humilité.
Par l’amour on peut devenir courageux.
Par l’économie naît la générosité.
Par l’humilité on peut atteindre le sommet.
Les hommes n’aiment plus mais ils prétendent être braves.
Ils ont perdu le goût de l’économie mais ils se déclarent généreux.
Ils ont oublié l’humilité et se bousculent pour être les premiers.
C’est une pente qui conduit à la mort.
Si l’on combat par amour l’on sort toujours vainqueur et la ville qu’on défend devient inexpugnable.
Le ciel secourt l’homme qui aime et le rend invulnérable.
Et lui fait un bouclier de sa miséricorde.



vendredi 13 novembre 2015

Les mots Victor Hugo



Le 4 septembre 1870, pendant que l’armée prussienne victorieuse marchait sur Paris, la république fut proclamée. Le 5 septembre, Victor Hugo, absent depuis dix-neuf ans, rentra. Pour que sa rentrée fût silencieuse et solitaire, il prit celui des trains de Bruxelles qui arrive la nuit. Il arriva à Paris à dix heures du soir. Une foule considérable l’attendait à la gare du Nord.
Il adressa au peuple l’allocution qu’on va lire :

"Citoyens, j’avais dit : Le jour où la république rentrera, je rentrerai. Me voici.
Deux grandes choses m’appellent. La première, la république. La seconde, le danger.
Je viens ici faire mon devoir.
Quel est mon devoir ?
C’est le vôtre, c’est celui de tous.
Défendre Paris, garder Paris.

Sauver Paris, c’est plus que sauver la France, c’est sauver le monde.
Paris est le centre même de l’humanité. Paris est la ville sacrée.

Qui attaque Paris attaque en masse tout le genre humain.
Paris est la capitale de la civilisation, qui n’est ni un royaume, ni un empire, et qui est le genre humain tout entier dans son passé et dans son avenir. Et savez-vous pourquoi Paris est la ville de la civilisation ? C’est parce que Paris est la ville de la révolution.
Qu’une telle ville, qu’un tel chef-lieu, qu’un tel foyer de lumière, qu’un tel centre des esprits, des cœurs et des âmes, qu’un tel cerveau de la pensée universelle puisse être violé, brisé, pris d’assaut, par qui ? Par une invasion sauvage ? Cela ne se peut. Cela ne sera pas. Jamais, jamais, jamais !
Citoyens, Paris triomphera parce qu’il représente l’idée humaine et parce qu’il représente l’instinct populaire.
L’instinct du peuple est toujours d’accord avec l’idéal de la civilisation.
Paris triomphera, mais à une condition : c’est que vous, moi, nous tous qui sommes ici, nous ne serons qu’une seule âme; c’est que nous ne serons qu’un seul soldat et un seul citoyen, un seul citoyen pour aimer Paris, un seul soldat pour le défendre.
À cette condition, d’une part la république une, d’autre part le peuple unanime, Paris triomphera.
Je ne vous demande qu’une chose, l’union !
Par l’union, vous vaincrez.
Étouffez toutes les haines, éloignez tous les ressentiments, soyez unis, vous serez invincibles.
Serrons-nous tous autour de la république en face de l’invasion, et soyons frères. Nous vaincrons.
C’est par la fraternité qu’on sauve la liberté.

{Actes et Paroles/ Depuis l'exil/ Paris 1}

dimanche 13 septembre 2015

L'irréversibilité du destin ou la blessure du Mont Venteux

J'ai toujours aimé la dernière image de Frodon qui referme le livre dans lequel il retrace sa vie et son chemin.

Il le referme et une douleur sourde vient lui rappeler que rien ne peut plus être comme avant. Quelle étrange distance est venue s'installer  entre lui et ses amis ? Entre lui et sa vie dans la Comté ?
Frodon, touché au Mont Venteux par un Nazgûl, frôle  de si près la mort que seule la magie elfique peut lui permettre un sursis. Arwen l'emporte alors vers Foncombe pour le sauver.
 Son courage et la fidélité à sa mission lui donnent de la force. Son ami est Sam Gamgee, principal témoin de sa quête. Il aime Frodon fraternellement. Son aide est très précieuse et la victoire finale lui revient en partie.
Cependant, Sam est seulement le témoin et ses aspirations au bonheur sont simples. Après la destruction de l'anneau, Frodon, touché dans sa profondeur, sent que son destin à d'autres horizons. Sa nouvelle sensibilité et les douleurs invisibles  qui le traversent ont creusé un abîme. Il doit accepter sa solitude intérieure et cheminer vers son nouveau destin. La conscience élevée et raffinée des elfes, leur bienveillance et surtout leur magie répondent à ses nouveaux besoins. Le deuil de Frodon pour sa vie d'avant représente un sacrifice, mais au fond de lui il peut faire confiance à la dimension d'amour qui l'accompagne. Frodon est dans la Foi face à cet inconnu et il accepte la séparation afin de découvrir de nouveaux rivages.


 L'histoire de Frodon  évoque les caps irréversibles de nos vies qui nous font toucher des profondeurs insondables. Ces intimes profondeurs créent souvent une distance silencieuse et imperceptible  qui nous amène intérieurement à la rencontre de nouveaux horizons.




mardi 2 juin 2015

Le pouvoir sublimé de l'Anneau.

Gandalf voit loin, très loin. C'est un visionnaire et un magicien qui œuvre sans cesse pour chasser les nuages qui voilent la destinée. Il donne les directions et  a un surprenant optimisme dans les moments les plus extrêmes. Sa présence se manifeste  au moment où le destin peut basculer. Le résultat, il ne le connait pas vraiment, il y croit et il l'espère. Il exprime ses peurs, ses erreurs avec une profonde humanité. Sa simplicité de cœur et d'âme est authentique. On ne sait pas à quel monde il appartient vraiment, il est dans un espace-temps un peu différent, une forme d'omniprésence.
Il veille sur les Hobbits et guide Frodon pour lequel il a une haute estime. Il admire son courage, sa sincérité, son loyal engagement et surtout son profond détachement.
Au cours de ce tumultueux chemin, Gandalf révélera, à Frodon, quelques leçons. La principale est de découvrir que le véritable pouvoir n'est pas dans l'anneau unique mais dans la beauté de la Communauté qui porte, au sens le plus élevé, l'esprit de groupe.
Frodon comprend que son destin est lié à une communauté d'âmes habitées par les mêmes  aspirations et que le véritable pouvoir de l'anneau réside dans leur union, leur profond engagement à croire ensemble, dans un premier temps , au chemin à parcourir.
L'acceptation du chemin est la clé de tous les possibles. Elle donne de la force, une direction mais n'épargne ni les épreuves, ni les transformations.
En ce sens, chacun sera amener à un dépassement ou plutôt un douloureux ré-ajustement.
Grand-pas, devra sortir de l'ombre, se voir autrement, dépasser ses doutes et apparaître au grand jour, pour être le garant du respect et de la continuité des valeurs et tenter de maintenir la progression. Sa résistance est sa force. L'opportunité de se réconcilier avec sa destinée lui est proposée.
Son chemin vers la légitimité de sa royauté est le symbole universel de la reconnaissance de notre royauté intérieure : ce profond sentiment d'estime, de reconnaissance et d'amour pour soi, indispensable pour évoluer vers une véritable foi en soi et en la vie dans toutes ses dimensions, autant matérielles que spirituelles.


dimanche 17 mai 2015

Aux arbres remarquables...


L'arbre

Il murmure aux oiseaux
l'été  dans ses branchages.
Il accueille les êtres à son pied consolés.
Il conte parfois le soir aux animaux de la forêt
Qui savent tous écouter sa sagesse du passé.
Mais, plus que tout, il sait
ce que tous ont oublié,
La force de la terre et la magie des étoiles,
La belle lyre du mage et le doux chant des fées,
L'équilibre harmonieux des racines et des branches.
Du ciel et de la terre,
Il est le doux allié
Qui nous rappelle sans cesse que
"Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas".


mercredi 8 avril 2015

La non-fatalité d'Anakin Skywalker




Chacun de nous a, au moins une fois, rencontré cette phrase sur son chemin : "Exerce ta volonté à renoncer à tout ce que tu redoutes de perdre un jour." Maître Yoda
Quel aurait été son destin si Anakin l'avait entendue ?
Mais la possibilité d'évoluer vers le côté obscur est aussi un chemin possible.  On y apprend la soumission à des valeurs perverses, on y vit la souffrance, la peur et l'humiliation. L'issue en est souvent la destruction.
Anakin dans sa peur, la plus extrême, de perdre la femme qu'il aime finira par quasiment l'étrangler. La perversité  de l'empereur le piègera à jamais dans l'ombre en lui faisant porter la culpabilité de sa mort.
Padmé Amidala mourra, finalement, de chagrin en mettant au monde leurs deux enfants : Luke et Leila.
La dimension dramatique, à son paroxysme, laisse tout envisager de la fatalité du destin.
Pour autant, sur le chemin, il reste au fond de Dark Vador une étincelle d'amour. Chaque fois qu'il croise son fils, il semble s'humaniser même si ses valeurs sont celles du côté obscur.
Luke avancera sans fléchir avec loyauté vis à vis de son père, ce qui traduit sa loyauté intérieure vis à vis de lui-même. Grâce à ce défi d'amour et de foi en lui, il anéantira toute possibilité de fatalité. Il épargnera son père qui finira par réaliser la prophétie et tuer l'empereur.


Mais l'amour, c'est une énergie vivante, une confiance absolue en la vie, une force pour vaincre le désespoir qui, parfois, essaie de nous noyer dans l'idée que rien n'a de sens et ne nous permet pas de dévoiler la richesse inouïe de la réalité cachée, celle qui apparaît  aux "yeux du cœur" et de l'âme derrière l'injustice apparente. La perception d'une autre réalité, d'essence spirituelle, permet de poser un regard nouveau sur les blessures  passées. Cet éclairage libérateur possède un réel pouvoir de guérison.

Ainsi, Dark Vador réhabilitant Anakin,  devient le symbole qui nous démontre que, même dans l'extrême, la fatalité  n'est pas la solution, mieux croire à la sublimation de son destin et opter pour la transformation.

dimanche 22 mars 2015

Equinoxe de printemps 2015 : faire confiance au renouveau

Le renouveau.
Aujourd'hui le soleil a rendez- vous avec la lune...On ne sait jamais ce que peut nous révéler l'équinoxe d'un printemps. Ces caps là dans nos vies ne sont pas empreints de hasard, ils peuvent annoncer un grand renouveau.
Ces jours-ci, la mer se retire loin pour nous dévoiler ses plus profonds secrets et revenir autrement.
À l'image de cette grande marée du siècle, laissons se retirer de nous nos peurs, nos doutes et nos souffrances anciennes pour y découvrir, enfin révélée, une autre réalité.

Baie du Mont Saint-Michel, Aout 2014.
Faire confiance au courant de la Vie, de nos vies et ne pas retenir son élan.
Avancer vers demain, se faire confiance dans le nouveau et dans l'inconnu.
La nature meurt en automne mais renaît au printemps. De la même manière, notre être a besoin de se débarrasser de vieux manteaux et de mourir à l'ancien. L'âme arrive toujours avec un nouveau dessein. Elle ramène dans ses bagages une multitude de savoir-vivre et de savoir- faire. Elle va dans un premier temps découvrir, dans sa nouvelle vie , comment les utiliser. Mais rapidement, refaire ce que l'on sait déjà ne nourrit plus. L'envie d'aller vers le nouveau est plus fort. Dans cet élan vital, arrivent de nouvelles expériences plus ou moins douloureuses, plus ou moins merveilleuses. L'être , que nous sommes, dans un commun accord avec son âme, va vivre des situations afin de se transformer, de changer de comportements et de s'enrichir de nouveaux sentiments et de nouvelles émotions. Il cheminera afin d'approfondir le lien à lui- même et de l'améliorer. L'amour de soi et la foi en soi en sont deux des principales clés mais souvent pour y accéder il faudra découvrir la compassion pour soi. Ces sentiments viennent du plus profond de nous, ils ne relèvent pas notre ego, ils nous rendent simplement un peu plus humain, un peu plus divin. Ils nous permettent de rayonner vers les autres plus ouverts et plus conciliants. Ce lien bienveillant facilite la paix intérieure et le lien à cette joie profonde qui vit toujours au fond de nous mais que l'on n'entend plus parfois. Revenir à cette sagesse profonde et éternelle et qui veille sur nous, soulage les maux du cœur chamboulé par les aléas de la vie.
Printemps d'Auréane, mars 2015.
Le dessein est d'avancer en répondant le mieux possible aux nouveaux besoins. Une telle conscience ne prive pas de son libre arbitre, au contraire, elle élargit la vision et nous rend maître de nos choix en nous libérant de nos peurs et de nos douleurs.
L'équinoxe du printemps est le signe de la renaissance, tout est de nouveau possible. La force est ici de faire confiance à la vie qui révèlera, en temps voulu, le sens de nos épreuves et encouragera, à chaque instant, tous nos espoirs.